„Geschichte der Schwarzen Löcher“ – Versionsunterschied
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* [[2004 en science|2004]] : Stephen Hawking avoue qu'il pense s'être trompé à propos du paradoxe de l'information des trous noirs : au bout d'un temps incommensurablement long, les trous noirs finissent par libérer l'information qu'ils ont emprisonnée. |
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* [[2012 en science|2012]] : Première preuve visuelle de l'existence des trous-noirs. L'équipe de [[Suvi Gezari]] de l'[[université Johns Hopkins]], utilisant le télescope hawaien Pan-STARRS 1, publie les images d'un [[trou noir supermassif]] à 2,7 millions d'années lumière en train d'aspirer une [[géante rouge]]<ref>[http://www.scientificamerican.com/article.cfm?id=black-hole-swallows-star] Scientific American - Big Gulp: Flaring Galaxy Marks the Messy Demise of a Star in a Supermassive Black Hole</ref>. |
* [[2012 en science|2012]] : Première preuve visuelle de l'existence des trous-noirs. L'équipe de [[Suvi Gezari]] de l'[[université Johns Hopkins]], utilisant le télescope hawaien Pan-STARRS 1, publie les images d'un [[trou noir supermassif]] à 2,7 millions d'années lumière en train d'aspirer une [[géante rouge]]<ref>[http://www.scientificamerican.com/article.cfm?id=black-hole-swallows-star] Scientific American - Big Gulp: Flaring Galaxy Marks the Messy Demise of a Star in a Supermassive Black Hole</ref>. |
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* [[2014 en science|2014]] : Stephen Hawking propose de redéfinir le trou noir en substituant à l'''horizon absolu'' qu'est l'horizon des événements un ''horizon apparent''<ref>{{article|langue=en|prénom1=Stephen W.|nom1=Hawking|lien auteur1=Stephen Hawking|titre=Information Preservation and Weather Forecasting for Black Holes|périodique=arXiv|jour=22|mois=janvier|année=2014|arxiv=1401.5761|consulté le=6 août 2014}}</ref>{{,}}<ref>{{article|langue=en|prénom1=Zeeya|nom1=Merali|titre=Stephen Hawking: ''There are no black holes''|périodique=Nature News|jour=24|mois=janvier|année=2014|doi=10.1038/nature.2014.14583|lire en ligne=http://www.nature.com/news/stephen-hawking-there-are-no-black-holes-1.14583|consulté le=6 août 2014}}</ref>. |
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== Notes et références == |
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Version vom 6. August 2014, 23:54 Uhr
Vorlage:Voir homonymes Vorlage:Article général
Cet article traite de la partie historique relative à la découverte et la compréhension des trous noirs.
XVIIIVorlage:E siècle : la notion de trou noir
L'histoire des trous noirs est directement liée à la question de savoir si la lumière a une masse ou pas, ou, en d'autres termes, si la lumière peut être influencée par la gravité comme une particule de matière ou pas. Au Vorlage:XVIIe siècle, la nature de la lumière est controversée. Selon Newton, elle est de nature corpusculaire, alors que pour Huygens, elle est de nature ondulatoire, dépourvue de masse. La finitude de la vitesse de la lumière étant connue, ainsi que la notion de vitesse de libération (vitesse limite à partir de laquelle un objet se libère de la gravité d'un corps), on est conduit, dans le cas d'une lumière corpusculaire éventuellement dotée d'une masse à concevoir un corps si massif que la vitesse de libération serait supérieure à la vitesse de la lumière. Dans ce contexte, les trous noirs peuvent être considérés comme un exemple typique de paradoxe où conduit une théorie poussée à sa limite.
En effet, en 1783, le révérend John Michell géologue et astronome amateur anglais expose dans un article envoyé à la Royal Society le concept d'un corps si massif que même la lumière ne pourrait s'en échapper. Il écrit alors dans son article[1] : Vorlage:Citation
Il expliquait que bien que ces corps soient invisibles, ils devaient provoquer des effets gravitationnels décelables : Vorlage:Citation La thèse de Michell restait très abstraite et ne reçut aucun écho.
Il faudra attendre 1796 pour que le marquis Pierre-Simon de Laplace, mathématicien, philosophe et astronome passionné par la mécanique céleste et la gravitation redécouvre cette idée. Il écrivait dans son livre Exposition du Système du Monde : Vorlage:Citation Il présentera sa thèse devant l'auditoire de l'Académie des sciences, mais les physiciens resteront sceptiques sur les chances d'existence d'un tel objet. Ainsi naquit le concept du trou noir mais la démonstration mathématique de Laplace semblait fantaisiste aux yeux des astronomes. En outre, les expériences de Young et de Fresnel conduisirent les physiciens à rejeter la nature corpusculaire de la lumière dans la première moitié du XIXVorlage:E. Laplace cessera d'ailleurs de faire figurer cette notion de trou noir à partir de la troisième édition de son livre Exposition du système du Monde.
Le trou noir retombera donc dans l'obscurité durant plus d'un siècle. Il réapparut au XXVorlage:E siècle, lorsque Albert Einstein publia la théorie de la relativité générale.
Première moitié du XXVorlage:E siècle : l'apport décisif de la relativité générale
En 1915, Albert Einstein publie une nouvelle théorie de la gravitation, la relativité générale. Dans cette théorie, la gravitation s'identifie à des propriétés de l'espace, dont la structure est modifiée par la présence de matière. L'espace n'est plus une entité absolue, mais une structure souple déformée par la matière. L'écoulement du temps est également affecté par la présence de matière.
La complexité des équations de la relativité générale était telle qu'Einstein lui-même était sceptique quant à la possibilité que l'on puisse en trouver des solutions exactes. Cependant, quelques mois à peine après la publication de sa théorie, le physicien allemand Karl Schwarzschild trouve une solution de cette équation décrivant le champ gravitationnel extérieur d'une distribution de masse à symétrie sphérique. Cependant, cette solution peut être (au moins formellement) étendue même en l'absence de matière. Il existe toujours un champ gravitationnel se comportant de façon similaire à celui de la gravitation universelle, mais au centre l'endroit où se trouvait la distribution de matière apparaît ce qui est aujourd'hui appelé une singularité gravitationnelle, où le champ gravitationnel devient infini. Cette configuration, aujourd'hui connue pour décrire un trou noir, était considérée comme non physique par Schwarzschild et Einstein. Elle comportait également une zone entourant la singularité gravitationnelle où certaines quantités décrivant le champ gravitationnel n'étaient plus définies. En 1921, les physiciens Paul Painlevé et Allvar Gullstrand donnent indépendamment une interprétation de la cette région en utilisant une nouvelle solution, la métrique dite de Painlevé-Gullstrand : il s'agit d'un horizon des événements, dont il n'est possible de quitter l'intérieur une fois que l'on y a pénétré.
À la fin des années 1920, le physicien indien Subrahmanyan Chandrasekhar montre qu'au-delà d'une certaine masse (appelée depuis limite de Chandrasekhar) un objet astrophysique qui n'est pas le siège de réactions nucléaires (une naine blanche) s'effondre sur lui-même sous l'effet de sa propre gravité, car aucune force ne peut contrarier l'effet de la gravitation. Le résultat de cet effondrement n'est pas décrit avec précision par Chandrasekhar, mais correspond à un trou noir. Arthur Eddington, convaincu que quelque chose arrête inévitablement cet effondrement, s'oppose vivement aux arguments de Chandrasekhar lors d'une controverse restée célèbre (voir Masse maximale des naines blanches et la controverse avec Eddington). En fait, on sait aujourd'hui que l'effondrement d'une naine blanche donne naissance à une supernova de type Ia, mais le raisonnement de Chandrasekhar est par contre valable pour une étoile à neutrons, dont l'existence n'était pas avérée à l'époque de ces travaux.
En 1939, après que l'existence des étoiles à neutrons a été prédite par Fritz Zwicky, Robert Oppenheimer et Hartland Snyder calculent qu'il existe une masse maximale aux étoiles à neutrons, au-delà de laquelle elles s'effondrent sous l'effet de leur gravité. Cette même année, Albert Einstein publie un article dans lequel il montre que la « singularité de Schwarzschild » n'a pour lui aucun sens physique. Il écrit [2]: Vorlage:Citation. Ces considérations seront par la suite réfutées à la fin des années 1960 par un ensemble de travaux auquel les noms de Stephen Hawking et de Roger Penrose sont fortement associés, les théorèmes sur les singularités.
Seconde moitié du XXVorlage:E siècle : la théorie des trous noirs prend forme
L'intérêt pour les trous noir reprend à la fin des années 1950 lors de ce qui s'est appelé l'âge d'or de la relativité générale.
Le mathématicien néo-zélandais Roy Kerr trouve en 1963 une solution décrivant un trou noir en rotation (dit trou noir de Kerr), dont l'effet est d'entraîner l'espace environnant dans son mouvement de rotation.
La découverte des pulsars (forme observable des étoiles à neutrons) en 1967 puis du premier candidat trou noir (Cygnus X-1) en 1971 font entrer les trous noirs dans le champ de l'astronomie. Le terme de trou noir est proposé par John Archibald Wheeler en 1967. Le terme d'« étoile noire » (utilisé dans un des premiers épisodes de la série Star Trek) était également utilisé à l'époque. Le terme tarde à s'imposer dans certains pays. En France, le terme de « trou noir » ne provoque guère d'enthousiasme en raison de sa connotation sexuelle douteuse. Le terme d'« astre occlus » lui est un temps préféré, en hommage à Laplace. Le terme anglais entre finalement dans l'histoire et est traduit mot pour mot dans toutes les langues.
Depuis la fin du Vorlage:XXe siècle, les observations de systèmes astrophysiques qui sont considérés comme contenant un trou noir s'accumulent. Dans notre galaxie, on découvre plusieurs microquasars : SS 433, GRS 1915+105, GRO J1655-40, 1A 0620-00 etc. Une vingtaine de systèmes binaires sont connus à ce jour contenant un trou noir stellaire. Leur existence est principalement déduite grâce à la possibilité, dans une étoile binaire de déterminer les masses des deux composantes. Si l'une de ces masses dépasse la limite d'Oppenheimer-Volkoff qui fixe la masse maximale d'une étoile à neutrons, alors que l'objet est invisible, celui-ci est considéré comme un trou noir.
Dates importantes
- 1676 : Ole Rømer prouve que la lumière se propage à une vitesse finie.
- 1783-1796 : John Michell et Pierre-Simon de Laplace énoncent la première notion de trou noir newtonien (en se servant des lois de Newton de la gravitation). Cependant, l'intervention de Michell en 1784, abstraite et très théorique, devant l'auditoire de la Royal Society of Cambridge, resta sans réponse. Laplace met alors par écrit ses recherches dans l'Exposition du Système du Monde[3].
- 1810 : l'impossibilité, pour la lumière, de s'échapper d'une étoile de grande taille est mentionnée par François Arago dans une communication à l'Académie des Sciences en 1810, qui ne sera publiée qu'en 1853[4].
- 1854 : publication posthume du tome premier de l'Astronomie populaire de François Arago qui utilise l'expression trou noir pour décrire l'anneau de la nébuleuse de la Lyre[5].
- 1868 : dans Les Enfants du capitaine Grant, Jules Verne emploie l'expression trou noir pour décrire une région du ciel austral particulièrement dénuée d'étoiles[6]. Dans l'édition anglaise de 1876, trou noir est traduit par black hole[7].
- 1915 : Albert Einstein publie, pour la première fois, l'équation du champ, équation fondamentale de la relativité générale[8].
- 1916 : Karl Schwarzschild trouve la première solution exacte à l'équation d'Einstein. Sa solution, connue comme la métrique de Schwarzschild, comporte deux singularités : l'une en et l'autre en . Elle permet de décrire un trou noir, connue comme le trou noir de Schwarzschild de masse quelconque, de charge électrique nulle et de moment cinétique nul[9].
- 1916-1918 : Hans Reissner et Gunnar Nordström trouvent la solution exacte à l'équation d'Einstein décrivant un trou noir possédant une charge électrique, par la suite appelé trou noir de Reissner-Nordström[10]Vorlage:,[11].
- 1917 : Johannes Droste obtient la même solution que Karl Schwarzschild[12]Vorlage:,[13].
- 1923 : George Birkhoff prouve que la métrique de Schwarzschild est une solution exacte de l'équation du champ[14].
- 1924 : Arthur Eddington propose un système de coordonnées, aujourd'hui connu comme les coordonnées d'Eddington-Finkelstein, qui établit que la singularité en de la métrique de Schwarzschild est une singularité de coordonnées[15].
- 1930 : Subrahmanyan Chandrasekhar calcule la masse maximale d'une naine blanche : la limite de Chandrasekhar. Elle vaut 1,44 fois la masse solaire, soit 3 × 10Vorlage:Exp kg. Au-delà, l'objet ne peut supporter son propre poids.
- 1939 : les physiciens américains Robert Oppenheimer et Hartland Snyder démontrent l'existence des singularités gravitationnelles, concluant : Vorlage:Citation Oppenheimer établit également avec George Volkoff la limite d'Oppenheimer-Volkoff (environ égale à trois masses solaires) à partir de laquelle une étoile à neutron s'effondre devient un trou noir. Cette même année Albert Einstein publie un article dans lequel il affirme que la « singularité de Schwarzschild » n'a aucun sens physique.
- 1950 : John Synge publie l'extension analytique maximale de la métrique de Schwarzschild[16].
- 1958 : David Finkelstein identifie la surface de Schwarzschild à un horizon des événements[17].
- 1960 : Martin Kruskal redécouvre les résultats de John Synge[18].
- 1963 : Roy Kerr découvre une solution des équations d'Einstein pour décrire les trous en rotation : les trous noirs de Kerr[19].
- 1964 : la journaliste américaine Ann Elizabeth Ewing utilise l'expression black hole dans un compte-rendu d'une réunion de l'American Association for the Advancement of Science publiée dans la Science News Letter du Vorlage:Date[20].
- 1965 : Ezra Newman découvre une solution pour décrire les trous noir en rotation et de charge électrique non nulle[21].
- 1965-1970 : À partir de la relativité générale, Roger Penrose et Stephen Hawking montrent qu'il doit y avoir à l'intérieur d'un trou noir une singularité de densité infinie ainsi qu'une courbure de l'espace-temps infinie. D'autres chercheurs émettent alors l'idée qu'un tel phénomène est impossible, ce qui signifie que des effets inconnus se produisent avant la création d'un trou noir, au point de rendre son existence hypothétique.
- 1966 : Yakov Zel'dovich et Igor Novikov ont l'idée de rechercher des trous noirs dans des systèmes binaires.
- 1967 : John Wheeler invente l'expression « trou noir ».
- 1967 : Werner Israël démontre le théorème de calvitie.
- 1969 : Roger Penrose propose l'hypothèse de la censure cosmique et le processus de Penrose[22].
- 1969 : Stephen Hawking démontre que la surface d'un trou noir ne peut qu'augmenter.
- 1970 : James Bardeen souligne que la présence d'accrétion de gaz dans une étoile binaire indique probablement que les trous noirs typiques tournent très rapidement.
- 1970 : Stephen Hawking et Roger Penrose montrent les théorèmes sur les singularités relatifs aux trous noirs.
- 1970 : Mise en orbite du premier télescope à rayons X, nommé Uhuru.
- 1970 : Martin Kruskal et George Szekeres découvrent indépendamment le système de coordonnées de Kruskal-Szekeres pour décrire la métrique de Schwarzschild.
- 1971 : L'existence des trous noirs dans l'univers se matérialise avec les observations du système Cygnus X-1.
- 1971 : Hawking montre que les trous noirs primordiaux (les plus petits) ont pu se former lors du Big Bang.
- 1971 : Donald Lynden-Bell et Martin Rees prédisent l'existence d'un trou noir supermassif au centre même de la Voie lactée[23]Vorlage:,[24].
- 1972 : Jacob Bekenstein émet l'hypothèse que la surface de l'horizon est une mesure de son entropie. Hawking est farouchement opposé à cette théorie.
- 1972 : Brandon Carter, Stephen Hawking et James M. Bardeen proposent les quatre lois de la thermodynamique des trous noirs.
- 1972 : Yakov Zel'dovich prédit la superradiance, un effet analogue aux processus de Penrose, mais en termes d'ondes et non de particules.
- 1972 : Richard H. Price effectue les premières simulations numériques d'un effondrement gravitationnel.
- 1973 : William Press et Saul Teukolsky prouvent que les vibrations d'un trou noir en rotation sont stables et s'amortissent au cours du temps.
- 1974 : Hawking montre que tous les trous noirs rayonnent : c'est l'évaporation des trous noirs, ou rayonnement de Hawking. Peu après, il s'accorde avec la théorie émise par Bekenstein en 1972 (voir Entropie des trous noirs), selon laquelle les trous noirs portent une entropie.
- 1974 : Russell Alan Hulse et Joseph Hooton Taylor découvrent le premier pulsar binaire, dont l'existence assure que deux étoiles à neutrons ou deux trous noirs peuvent finir par entrer en collision pour former un trou noir plus grand.
- 1975 : Chandrasekhar et Stephen Detweiler mettent au point une description mathématique des perturbations des trous noirs appelées modes quasi-normaux.
- 1994 : Découverte de jets supraluminiques dans le domaine radio dans notre galaxie, près de l'objet GRS 1915+105. Ces jets sont la version réduite des jets observés dans les quasars, et sont la conséquence de matière tombant sur un trou noir (ici un trou noir stellaire).
- 1994 : Découverte d'un autre système avec des jets potentiellement supraluminiques : GRO J1655-40 (mais sa distance est sujette à controverse).
- 2002 : Le télescope spatial INTEGRAL, mis en orbite au mois d'octobre, doit observer attentivement le domaine spectral des rayons X, à la recherche de trous noirs de grande taille.
- 2004 : Stephen Hawking avoue qu'il pense s'être trompé à propos du paradoxe de l'information des trous noirs : au bout d'un temps incommensurablement long, les trous noirs finissent par libérer l'information qu'ils ont emprisonnée.
- 2012 : Première preuve visuelle de l'existence des trous-noirs. L'équipe de Suvi Gezari de l'université Johns Hopkins, utilisant le télescope hawaien Pan-STARRS 1, publie les images d'un trou noir supermassif à 2,7 millions d'années lumière en train d'aspirer une géante rouge[25].
- 2014 : Stephen Hawking propose de redéfinir le trou noir en substituant à l'horizon absolu qu'est l'horizon des événements un horizon apparent[26]Vorlage:,[27].
Notes et références
- ↑ Vorlage:En Rev. J. Michell, B. D. F. R. S. In a Letter to Henry Cavendish, Esq. F. R. S. and A. S. On the Means of Discovering the Distance, Magnitude, &c. of the Fixed Stars, in Consequence of the Diminution of the Velocity of Their Light, in Case Such a Diminution Should be Found to Take Place in any of Them, and Such Other Data Should be Procured from Observations, as Would be Farther Necessary for That Purpose., «Philosophical Transactions of the Royal Society of London», vol. 74 (1784) pp.35-57 (url link) ISSN 0261-0523
- ↑ Vorlage:En Albert Einstein, On a stationary system with spherical symmetry consisting of many gravitating masses, «Annals of Mathematics», Vol. 40, pp.922-936, 1939. (article disponible sur JSTOR)
- ↑ Vorlage:Ouvrage
- ↑ Vorlage:Article
- ↑ Vorlage:Ouvrage, Vorlage:P. (lire en ligne) : Vorlage:Citation, cité par Vorlage:Article
- ↑ Vorlage:Lien web
- ↑ Vorlage:Ouvrage, Vorlage:P. (lire en ligne)
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- ↑ Vorlage:Chapitre, Vorlage:P. (lire en ligne)
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- ↑ Voir l'article de revue de Fulvio Melia et Heino Falcke. arxiv:astro-ph/0106162
- ↑ [1] Scientific American - Big Gulp: Flaring Galaxy Marks the Messy Demise of a Star in a Supermassive Black Hole
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