Benutzer:IgorCalzone1/Guy

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Produktion[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Nathalie Simon meint, der Film sei zwar zum Lachen / der Film halte Lacher vor, sei aber keine Komödie, sondern vielmehr eine melancholische und bewegende Reflexion über einen Mann, der weiß, dass er seine Jugend hinter sich gelassen hat, aber nicht aufgeben will. / Guy suscite des rires, mais n'est pas une comédie. Plutôt une réflexion mélancolique et émouvante sur un homme qui sait que sa jeunesse est derrière lui, mais n'entend pas baisser les bras. Et finit par s'attacher à ce journaliste qui pourrait être son fils.[1]

Luc Chessel von Libération xxx fünf Stunden Make-up durchläuft und sich Alex Lutz, in diesen septuagenarischen Latex zeigt, der kühn in Nahaufnahme gefilmt wird xxx. xxx ein Mann der eine Karikatur von sich selbst ist. Es wäre genau richtig zu sagen, dass es unter dem Latex nichts gibt. / Pourquoi Guy est-il inquiétant, et pas seulement - par moments et tour à tour - drôle, naïf, absurde ou interminable ? Finalement plus corrosif que tout ce que déclarera son auteur humoriste pour le vendre, sans froisser personne c’est-à-dire sans humour, le film récuse pourtant tout cynisme sur son sujet. Il veut prouver qu’on peut aimer la variété française et adorer les vieux cons sans admirer et il y arrive, mais au prix d’un point de vue étrange : contorsion qui prétend rire de la vie telle qu’elle est, sans avoir à forcer son trait, tout en passant par cinq heures de maquillage pour la recréer de fond en comble. Alex Lutz, jouant lui-même ce septuagénaire de latex audacieusement filmé en gros plan, cherche à ressembler à un pur type tout en y insufflant des nuances, à nous amuser d’une caricature tout en s’attendrissant sincèrement d’un homme devenu la caricature de lui-même. Dire qu’il n’y a rien sous le latex, ce serait juste bien entendu : à première vue et une fois de plus, l’éloge sans risque de cette vacuité profonde, ce néant grave des chansons populaires, des chansons d’amour où tout un chacun se rencontre et se retrouve, au parterre des salles de province ?[2] Luc Chessel von Libération xxxx: "Guy ist ein Monster: Geboren aus einer Mischung aus gutem Fernsehen und schlechtem Kino, zwischen erfundener Dokumentation und ungeschminkter Fiktion, zwischen der Prägnanz der Skizze und den Längen des gefilmten Konzerts, sucht dieser Film überall Emotion. Guy lebt unter einer Maske, die an ihm nagt, wie Alex Lutz unter seinem störenden Make-up. Chessel fühlt sich an einen Vers von Tristan Corbière erinnert, einem französischer Lyriker, der zu den Vorreitern des literarischen Symbolismus und Surrealismus in Frankreich gehörte: "Ich sage dir ohne Make-up, es ist das Make-up, das ich liebte!" / Guy est un peu moins sentimental que ça, ou bien il l’est encore plus et trop, à la limite du monstrueux. Guy est un monstre : né d’un croisement entre bonne télévision et mauvais cinéma, entre documentaire maquillé et fiction sans fard, entre la concision du sketch et les longueurs du concert filmé, ce film cherche partout l’émotion là où elle n’est pas, il traque le rire dans l’absence d’ironie, et piste le vrai dans la bêtise ordinaire, le simple bon sens dans l’affectation générale, le génie dans la balourdise, la trouvaille dans le préjugé. Ses contradictions le sauvent de la complaisance, il nous envoie au visage une sorte de sincérité factice et radicalement dépressive, qui est aussi celle de son personnage. Guy vit sous un masque qui le ronge et qui ne laisse plus distinguer la moindre peau, comme Alex Lutz sous son inquiétant make-up. Ne croyez pas ce que vous voyez, mais ne croyez rien d’autre ; riez de vous-mêmes, vous finirez par en crever. Plus cruel qu’autre chose, cruel ou tendre, et anticommercial comme un vers de Tristan Corbière lançant à sa belle démaquillée : «Je te le dis sans fard, c’est le fard que j’aimais !»[2]

Rezeption[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Rotten Tomatoes.[3]

Jean-Francois Lixon bemerkt weiter... Es wird von einer Arbeit über Gesten, Haltungen, den allgemeinen Rhythmus begleitet, der die Verwandlung eines jugendlichen Alex Lutz in einen Guy Jamet vollendet und gegen die verheerenden Angriffe des Alters tapfer resistent ist. Hier ist kein Gesicht, das unter einem übertriebenen Makeup eingefroren ist, die Wirkung der verstreichenden Zeit, Guy Jamet erscheint vor uns ... Die große Zartheit(?) von Guy/des FIlms verbirgt sich/begründet sich/liegt in der Zärtlichkeit, die Lutz der Figur/seinem Charakter verleiht. Es wäre leicht gewesen, sich auf das egozentrische und lächerliche Gesicht des Sängers zu beschränken.[4]

Deborah Young von The Hollywood Reporter bemerkt xxx Insgesamt sei der Film ein funkelnder, ironischer Gruß an das Alter und an die vergängliche/vergangene Zeit / One suspects the film could be a turning point for Lutz, who is known for creating characters through his body language and facial expressions alone. Here he has the advantage of costumes (rigorously all-black onstage, with a flash of gold chain around the neck) and excellent makeup that turns him into a man in his 70s (as well as a young singer in his 20s crooning duets with Marina Hands and Elodie Bouchez). In fact, with his shock of white hair and perpetually open mouth, Lutz looks so natural as the singer "Guy Jamet" that unwary viewers will be fooled into thinking it's a much older actor playing the part. The really unwary may try to track down Guy Jamet on Wikipedia, but he is a compilation of a number of classic crooners. xxx Insgesamt sei der Film xxx A sparkling, ironic salute to age and passing time.[5]

Weblinks[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

  • Guy im Programm der Semaine internationale de la critique (französisch)
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  2. a b Referenzfehler: Ungültiges <ref>-Tag; kein Text angegeben für Einzelnachweis mit dem Namen LiberationChessel.
  3. https://www.rottentomatoes.com/m/guy/
  4. https://culturebox.francetvinfo.fr/cinema/evenements/festival-de-cannes/semaine-de-la-critique/cannes-2018-guy-l-exploit-d-alex-lutz-en-vieux-chanteur-ringard-273373
  5. Referenzfehler: Ungültiges <ref>-Tag; kein Text angegeben für Einzelnachweis mit dem Namen TheHollywoodReporterYoung.